La saga des entreprises Tech est à son apogée ! On trouve désormais des Tech à toutes les sauces : BioTech pour la santé, MedTech pour le médical, CleanTech pour les énergies renouvelables, EdTech pour l’éducation, InsurTech pour l’assurance, RegTech pour la réglementation etc. En 2016, créer une entreprise dans l’un de ces secteurs c’est faire preuve de créativité en remettant en cause des modèles existants et faire le choix de s’ouvrir sur le monde. Car qui dit technologie dit aussi dépasser les frontières et s’ouvrir rapidement à des marchés beaucoup plus vastes. Un élément majeur relie toutes ces start-ups : le choix d’une culture d’entreprise forte et différenciante pour attirer les nouveaux talents.
Etre entrepreneur ou travailler dans une start-up, c’est avant tout appréhender la vie au travail d’une toute autre manière. Bien-être, distraction, divertissement sont en effet reconnus par les nouvelles générations comme étant source de productivité. Au grand dam des générations de baby-boomers qui ne comprennent pas toujours comment les salariés peuvent-être productifs s’ils sont constamment sollicités pour se divertir. Pourtant, dans une étude publiée par Glassdoor en Mars 2015 « la culture d’entreprise paye-t-elle ? », les entreprises qui ont une forte culture d’entreprise seraient plus performantes que les entreprises plus traditionnelles.
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Des entreprises comme Google ou Facebook qui faisaient office d’exception dans les années 2000 sont très vite devenues la norme. Aujourd’hui, tout le monde veut son babyfoot et ses fatboys dans la salle de réunion.
Certaines start-ups vont encore plus loin comme Transferwise, une Fintech de transfert d’argent à l’international, qui a installé dans ses nouveaux bureaux de Londres un sauna pour ses employés.
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La culture d’entreprise compte plus que jamais dans le développement des start-ups qui cherchent par tous les moyens à sortir du lot pour exister. La culture d’entreprise et le bien-être des employés prennent désormais une place centrale dans la vie des start-ups, à tel point que les préoccupations de ces jeunes entreprises sont souvent « d’investir dans des tables de Ping Pong avant de dégager des bénéfices », comme l’explique le Financial Times.