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Comment gérer sa data en PME/ETI ?

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Comment gérer sa data en PME/ETI

La data est un outil majeur de croissance et de compétitivité pour les PME et ETI. Contrairement aux idées reçues, le Big data est un univers parfaitement accessible à ces entreprises. L’importance des data est reconnue à tous les niveaux de l’entreprise. Leur exploitation efficace permet de créer de la valeur et d’aider à la décision.

Innovantes et agiles, vos entreprises ont tout en main pour se saisir de cet enjeu. Pourtant, la définition de stratégies data vous effraie peut-être encore. Le manque de ressources humaines, financières ou de temps est un frein à la mise en place d’un data management efficace. INVYO vous accompagne, en vous permettant d’exploiter les data de la façon la plus pertinente possible pour votre activité, sans avoir de Chief Data Officer ou de collaborateur spécifiquement dédié et formé.

La data est incontournable

Toutes les entreprises détiennent des données, mais s’en servent finalement peu. 1,3 million d’euros : c’est ce que perd en moyenne une entreprise française chaque année à cause d’une mauvaise gestion de la data.

À l’image des grands groupes, les PME et ETI produisent chaque jour une multitude de data, issues de nombreuses sources : CRM, système de gestion, logiciel de facturation et bien d’autres. Les data peuvent aussi venir directement des sites web, des réseaux sociaux, de données transactionnelles variées… Cette data est souvent stockée sans être exploitée, ce qui lui fait perdre de la valeur. Or, la data se valorise et elle permet de faire des choix stratégiques qui améliorent significativement les marges.

Optimisation des opérations courantes

Grâce aux évolutions technologiques, il est désormais possible d’automatiser les tâches quotidiennes, à faible valeur ajoutée. Vous pourrez classifier des milliers de feuilles de rapport ou encore collecter de nombreuses informations sur des clients. Les réseaux sociaux sont également une source de flux de données importante. L’idée est de combiner l’ensemble des data dont vous disposez. Le résultat obtenu sera alors exploité dans la mise en place de stratégies ou d’offres personnalisées pour vos clients.

Détecter des insights

La qualification et l’exploitation de la data conduit à une meilleure perception du marché et plus largement du contexte global. Cette approche permet de détecter des insights indispensables. Si la prise de décision doit être imprégnée du contexte, elle devrait également être pilotée et tournée vers une action par le contexte.

« Des systèmes intelligents en continuelle exécution et capables de percevoir des changements de contexte, les qualifier, en apprécier l’envergure et alerter, interroger et guider le décideur sont indispensables pour une veille intelligente, alerte et responsable », détaille la spécialiste en Intelligence Artificielle, Imène Brigui dans Forbes.

L’enjeu est de passer progressivement du Big data au Smart data. Les entreprises doivent se concentrer sur un petit volume de data, identifiées parmi une foule de données et très qualifiées pour leur activité. Cette data ciblée, porteuse de sens, va pouvoir être exploitée et transformée efficacement en actions.

Grâce à une approche Smart data, vous bénéficiez d’une vision à 360 degrés du client et du marché qui permet de proposer directement des offres plus pertinentes, de vous différencier de vos concurrents, voire même d’anticiper les besoins des clients, dans un monde où l’innovation ne cesse d’accélérer et l’exigence d’immédiateté avec.

Comment faire sans Chief Data Officer ?

Les PME ne comptent pas forcément dans leurs rangs la présence d’un Chief Data Officer. Bonne nouvelle ! Il est possible d’adopter une solution technologique adaptée et d’automatiser l’analyse des data. Vous verrez alors émerger des insights à côté desquels vous passiez jusqu’à présent et vous pourrez adapter vos stratégies en conséquence. INVYO vous accompagne dans cette démarche. 

« Selon une étude récente, 43% des dirigeants de PME voient l’accélération de la transformation digitale de leur entreprise comme un enjeu fort. Or, c’est un segment assez mal servi par les outils technologiques. Les PME et ETI sont les oubliés de la tech », explique Alexandre Velut, co-fondateur et CEO d’INVYO.

Chez INVYO, nous accompagnons notamment les PME et les ETI dans la gestion de leur data, en leur donnant tous les moyens en interne, sans avoir besoin de recruter un CDO.

Adopter la technologie adéquate

Simplement collecter des informations brutes ne vous permettra pas d’atteindre vos objectifs. Pour centraliser les data et obtenir une source d’informations unifiée, il faut vous doter d’une solution technologique adaptée. La plupart des entreprises de data proposent un mono-produit : un outil pour un besoin métier. Or, cela complexifie énormément l’expérience des entreprises dans le traitement de la data. C’est pourquoi, chez INVYO, nous avons développé une gamme de briques technologiques, qui répondent à des besoins variés chez nos clients. Nos outils offrent : 

  • Un gain de temps : la prise en main de nos solutions est simple ce qui permet à vos équipes métier de se les approprier rapidement et de gagner un temps considérable sur des tâches auparavant chronophages. 
  • Un gain en efficacité : vous ne passez plus votre temps à chercher la bonne information dans la masse au lieu de prendre des décisions pertinentes rapidement. Vous pouvez ainsi faire valoir toute votre expertise.
  • Un gain financier : pas besoin de recruter des personnes dédiées et le gain en efficacité vous permet d’être plus compétitif sur un marché où les exigences d’immédiateté et de personnalisation sont croissantes.

Nos clients choisissent donc dans notre marketplace les outils qui s’adaptent à leurs différents besoins métiers. Ils composent une solution technologique sur-mesure en assemblant ces différentes briques, qui s’adaptent à leur environnement et passent ainsi à une approche Smart data, bien plus efficace. Nos solutions évoluent dans le temps, en fonction de leurs contraintes.

Notre chaîne de valeur se décompose en 3 moments : extraire la bonne data, la centraliser et la traiter, puis la distribuer dans un format compréhensible par les métiers. Nos clients obtiennent une vue 360° sur leurs data, de leur extraction jusqu’à la prise de décision finale.

Vous êtes hésitants à investir dans une solution technologique ?

Échangez avec nos équipes sur vos besoins et vos projets. INVYO est la première marketplace de gestion de la data en Europe, nos solutions vous aideront à accélérer.

INVYO

Souveraineté de la data en France : quels enjeux pour votre entreprise ?

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Souveraineté de la data

Vos données vous appartiennent-elles vraiment ?

Souveraineté de la data et enjeux pour votre entreprise

Parmi les buzzwords technologiques de ces dernières années, “data” tient une bonne place au classement général, entouré de “blockchain” et “intelligence artificielle”. Si l’utilisation outrancière du terme lasse, la data n’en reste pas moins un enjeu central pour les entreprises. Pour rester compétitives sur leur marché, celles-ci n’ont d’autre choix que d’apprendre à la recueillir, à l’exploiter et à l’analyser efficacement

Avec l’accélération du développement d’internet, et du cloud computing (stockage des données sur internet plutôt que sur des serveurs locaux) en particulier, les data connaissent leur heure de gloire. Cela pose de nouveaux enjeux pour les entreprises. En effet, des évolutions dans les règles de stockage de la data sont à prévoir : elles ne sont plus (seulement) stockées sur des serveurs physiques, dans une salle dédiée gérée par l’entreprise, elles sont également stockées par les prestataires de services cloud et partagées en ligne. Une évolution qui questionne de plus en plus les utilisateurs sur la localisation et la protection de leurs data. Il s’agit désormais d’une question stratégique pour les entreprises. 

Pourquoi parler de souveraineté de la data ? Quels sont les enjeux pour votre entreprise ? Quels choix avons-nous fait chez INVYO ? Nous y répondons en détail dans cet article, bonne lecture !

1/ “Data is the new oil” ou la flambée de l’économie de la data

Le volume de data en circulation ces dernières années a explosé. En cause ? Le développement d’internet et la migration massive vers le cloud computing. 47 zettaoctets : c’est le volume de data numériques créées à l’échelle mondiale en 2020. Vous ne connaissez pas les zettaoctets ? Un zettaoctet est égal à mille milliards de gigaoctets. Difficile de se représenter ce volume gigantesque. Pour vous donner une idée : il faudrait se procurer 470 millions des plus gros disques durs actuels (100 To) pour être en mesure de sauvegarder toutes ces data. Ce volume connaît une croissance exponentielle : il a été multiplié par 20 ces dix dernières années et devrait atteindre 2 000 zettaoctets en 2035 ! (voir graphique ci-dessous pour en mesurer l’ampleur)

 

Big Data

Cette explosion ne laisse personne indifférent, et certainement pas les entreprises. Une nouvelle économie s’est créée : celle de la data. Que représente-t-elle aujourd’hui ? Le marché mondial du Big data est estimé à 200 milliards de dollars en 2020 et devait peser 4 milliards d’euros en France cette même année. En 2015, 61% des entreprises françaises estimaient déjà que le Big data était l’un des principaux leviers de leur croissance.

Bien sûr, les informations n’ont pas de valeur intrinsèque, c’est leur analyse et leur utilisation qui leur donne une valeur économique. C’est pour cela que nous parlons de Smart data plutôt que de Big data chez INVYO. Les data récoltées par les entreprises proviennent de différentes sources : il s’agit aussi bien des data clients, qu’elles collectent pour une meilleure connaissance client et pour affiner les produits et services proposés, que des data externes, qui donnent des indications sur le marché, et également les fameuses données personnelles, qui font si souvent la une des journaux – le plus souvent en cas de catastrophe (Facebook-Cambridge Analytica par exemple …). L’ensemble de ces data est valorisable et cela peut s’avérer très lucratif pour les entreprises. Toujours selon le cabinet IDC, le marché des données personnelles représentait 60 milliards d’euros en 2016, avec une croissance attendue d’un tiers d’ici 2020. Surtout, la valorisation de ces données personnelles générerait indirectement une richesse cinq fois plus importante ! 

Cette manne financière attire les entreprises, dont certaines se sont emparées du sujet plus rapidement que d’autres. Nous pensons notamment aux GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) et autres BATX (l’équivalent chinois des GAFAM : Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi). La domination de ces entreprises pose question sur la propriété et la localisation de la data.

2/ Les enjeux de la souveraineté de la data 

Comme évoqué dans les lignes précédentes, le développement du cloud computing implique un changement dans les règles de stockage des data. Alors que les entreprises les maîtrisaient directement avant, sur des serveurs physiques privés, elles transitent désormais par des serveurs en ligne et sont également stockées dessus. Or, qui offre aujourd’hui ces services de stockage ? En grande majorité les GAFAM et les BATX, vous l’aurez bien compris. 

 

Pour vous donner quelques chiffres (nous parlerons surtout des GAFAM, qui sont les services auxquels nous avons le plus souvent recours en France et en Europe) : 

  • La capitalisation boursière cumulée des GAFAM a dépassé les 8 600 milliards de dollars cette année et a grimpé de 40% par rapport à 2020. A titre de comparaison, le PIB 2020 de la France était de 2 500 milliards de dollars environ et la capitalisation boursière des entreprises du CAC 40 de 1 888 milliards d’euros (février 2021).
  • Le marché des infrastructures cloud (IaaS) est très largement dominé par les GAFAM : 70% du marché sont aux mains d’Amazon (via AWS), Microsoft (via Azure) et Google (via Google Cloud). Leurs data centers contiennent la très grande majorité des data numériques de la planète. 

 

Pourquoi cette hégémonie sur la gestion et le stockage de la data est un enjeu pour les entreprises françaises – et européennes plus largement ?

  1. Une grande partie des revenus des GAFAM provient de la monétisation des data, via la publicité. Même pour le stockage des données dans le cloud, vous n’avez pas de garantie que le cloud provider ne les utilise pas. Elles sont souvent compilées, analysées et revendues.
  2. Les réglementations concernant les data diffèrent d’un pays à l’autre. Depuis 2001, l’USA Patriot Act obligent les sociétés implantées aux Etats-Unis à donner l’accès à leurs serveurs aux services d’enquête américains, sans qu’elles soient directement informées de leur intervention. Par ailleurs, depuis 2018 et l’entrée en vigueur du “Cloud Act”, la justice américaine peut accéder à toutes les informations présentes sur un serveur détenu par une société américaine, quelle que soit sa localisation. Ces lois vont à l’encontre d’un très haut niveau de sécurité dans le stockage des data et ne permettent pas d’obtenir la traçabilité complète des data échangées.
  3. Il s’agit d’un enjeu économique pour l’Europe. Selon un rapport établi par KPMG, l’essor des prestataires de cloud européens impliquerait “une forte création de valeur pour l’économie européenne”. Cela représenterait en effet 550 000 créations d’emplois et 200 milliards d’euros d’investissements sur la période 2021-2027. L’Europe a conscience de ces enjeux et souhaite garantir son autonomie sur certains sujets techniques et technologiques (semi-conducteurs, supercalculateurs, ordinateurs quantiques, cloud). Cela a mené à la création du projet Gaia-X, une plateforme d’offres de stockages qui répondent aux règles européennes en matière de protection des données et de transparence. 

La question de la localisation des datacenters, du stockage des data et des acteurs associés doit être étudiée par chaque entreprise, à l’aune de ses convictions et ambitions. Quelle que soit votre décision finale, il n’est plus possible de l’éviter, c’est un enjeu stratégique pour votre entreprise. 

3/ Quel choix avons-nous fait chez INVYO ? 


INVYO est la première marketplace de gestion de la data en Europe. 

La data est au coeur de toute notre activité, rendant le sujet encore plus stratégique pour nous. Nous avons choisi de créer un environnement de confiance maximal en faisant appel à un acteur reconnu sur le marché français du cloud : OVH

Pourquoi avoir fait ce choix ? OVH est une entreprise française, qui s’engage à ne faire aucun usage des data de ses clients, défend la souveraineté numérique européenne et protège ses clients contre les ingérences étrangères. 

Par ailleurs, OVHcloud a obtenu le visa de sécurité SecNumCloud début 2021. Celui-ci est décerné par l’ANSSI, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’informations, et répond aux exigences de sécurité les plus élevées en matière de protection des data. Il garantit le recours à des solutions recommandées par l’Etat français, qui sont particulièrement adaptées pour les entreprises évoluant dans les secteurs les plus sensibles. 

Plus globalement, nous faisons le choix chez INVYO de collaborer avec des prestataires Made in France/Europe, qu’il s’agisse de nos choix technologiques comme de nos choix opérationnels du quotidien (Alan, Swile, Kymono …). 

Il revient à chaque entreprise de se faire son propre avis sur la question de la souveraineté de la data. Ce qui est certain, c’est qu’il n’est plus possible de ne pas se la poser en 2021, il s’agit d’un enjeu stratégique majeur pour les entreprises.

Collaborer avec INVYO vous garantit que vos data sont hébergées et gérées avec la plus grande transparence, tout en bénéficiant des meilleures normes de sécurité. Alors, n’hésitez plus à échanger avec nos équipes pour vos projets data !

 

​​INVYO

Quels sont les enjeux autour de la data, communément appelée “l’or noir du XXIème siècle” ?

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Enjeux de la data

Interview d’Alexandre Velut, Co-fondateur et CEO d’INVYO

Quels sont les enjeux autour de la data, communément appelée “l’or noir du XXIème siècle” ?

Depuis plusieurs années, on entend parler de Big Data un peu partout. À raison : le nombre de data créées ces 5 dernières années est équivalent à celui de l’ensemble des data créées depuis le début de l’humanité ! Elles sont omniprésentes, complexes et non structurées.

Notre constat chez INVYO est simple : il y a aujourd’hui trop de data en circulation. Les entreprises sont perdues face à cette masse d’informations, qu’elles soient internes ou externes. Résultat, elles passent trop de temps à chercher l’information de tous les côtés et à la qualifier pour en faire sens pour leur activité. Cela rend les structures lourdes, lentes à évoluer. Faute d’une solution efficace, les entreprises sont plus concentrées sur le traitement de la data que son analyse et la prise de décision qui en découle.

C’est pourquoi nous pensons qu’il est indispensable de passer du Big Data au Smart Data. Notre conviction est que la valeur d’une data dépend avant tout de sa qualité. Les entreprises doivent se concentrer sur un petit volume de data, très qualifiées pour leur activité. Cette data ciblée va pouvoir être exploitée et transformée efficacement en actions. C’est tout l’enjeu de la data en entreprise désormais, d’autant que le volume de data disponibles ne cesse de croître.

Creusons un peu plus sur l’expérience des entreprises aujourd’hui vis-à-vis de la data. Comment se passe la collecte, le traitement, l’exploitation et la visualisation de la data ?

Bien sûr, des outils existent pour traiter ces sujets en entreprise. On constate cependant des pertes de temps, d’efficacité et financières. 

  • Perte de temps
    • Jusqu’à présent, un besoin métier correspond à un outil. Ces outils ne communiquent pas entre eux généralement et la plupart sont destinés à des personnes déjà connaisseuses au sein de l’entreprise (l’équipe technique plus que les équipes métiers).
    • Leur prise en main est donc complexe, les équipes métiers mettent du temps à se les approprier. Leur gestion quotidienne est également une perte de temps puisqu’il faut jongler entre plusieurs solutions technologiques.
  • Perte d’efficacité
    • La multiplication des outils dédiés à la gestion de la data rendent les équipes peu efficaces. Plutôt que de prendre des décisions, elles passent leur temps à chercher l’information au bon endroit. 
    • Or, la valeur de l’expertise métier provient de la prise de décision, pas de la recherche d’information en amont.
  • Perte financière :
    • Aujourd’hui, les entreprises doivent recruter des personnes dédiées pour le traitement de la data. Ces postes ne génèrent pas de nouveaux leviers business. 
    • La mauvaise gestion de la data est une perte financière : le manque d’efficacité et de performance rendent l’entreprise moins compétitive. L’entreprise est lente à évoluer, dans un contexte global où l’agilité est un atout compétitif.

Pourquoi avoir créé INVYO ? A quels besoins répondez-vous ?

La plupart des entreprises de data proposent un mono-produit : un outil pour un besoin métier. Or, cela complexifie énormément l’expérience des entreprises dans le traitement de la data.

C’est pourquoi nous avons pris le contre-pied de ce type d’organisation chez INVYO. Nous avons développé une gamme de briques technologiques, qui répondent à des besoins variés chez nos clients. Notre approche est hybride : des gammes de solutions clés en main, en mode PaaS (Platform-as-a-Service), ainsi qu’une personnalisation de certaines briques, en mode serviciel.

Nos clients choisissent donc dans notre marketplace les outils qui s’adaptent à leurs différents besoins métiers. Ils composent une solution technologique sur-mesure en assemblant ces différentes briques, qui s’adaptent à leur environnement.

Nos solutions évoluent dans le temps, en fonction des contraintes de nos clients. Ils obtiennent une vue 360° sur leurs data, de leur extraction jusqu’à la prise de décision finale. Notre chaîne de valeur se décompose en 3 moments : extraire la bonne data, la centraliser et la traiter, puis la distribuer dans un format compréhensible par les métiers.

Où en êtes-vous aujourd’hui ?

Nous avons passé plus de 2 ans à bien comprendre les besoins de nos clients et à développer le socle technologique de nos solutions. La commercialisation a été lancée fin 2019.

Aujourd’hui, nous avons 18 personnes dans l’équipe, dont 90% sur des métiers tech … et nous avons plusieurs recrutements à venir ! Nous avons également réalisé une levée de fonds d’1,3M€ fin 2020.

Actuellement, nous sommes présents en France et en Espagne. Et nous réfléchissons à nous développer dans d’autres pays à court terme.

À quels secteurs vous adressez-vous ?

Aujourd’hui, la data est présente et manipulée quel que soit le secteur. Nos solutions technologiques ne sont donc pas verticalisées, elles peuvent s’adresser à de nombreux secteurs. Nos clients sont aussi bien des entreprises de la finance, que de l’immobilier et de l’énergie.

Nos clients cœurs de cible sont les PME et les ETI. Selon une étude récente, 43% des dirigeants de PME voient l’accélération de la transformation digitale de leur entreprise comme un enjeu fort. Or, c’est un segment assez mal servi par les outils technologiques. Les PME et ETI sont les oubliés de la tech. C’est pour cela que nous nous concentrons sur ce marché, pour aider les dirigeants d’entreprises à accélérer leur digitalisation et la gestion de leur data.

À long terme, quelle est votre ambition ?

Elle est simple : constituer la marketplace de la data la plus complète du marché. Notre objectif est d’aider les entreprises à optimiser le traitement et la gestion de la data, en fournissant une vision 360° sur les data internes et externes. Nous allons donc poursuivre la construction de notre catalogue de solutions, pour que nos clients puissent piocher celles qui correspondent le mieux à leurs besoins métiers.

INVYO

Gestion de la data : où en sont les entreprises françaises en 2021 ?

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1,3 million d’euros : c’est ce que perd en moyenne une entreprise française chaque année à cause d’une mauvaise gestion de la data. A une époque où la création et le partage d’informations en ligne connaissent une croissance exponentielle, savoir gérer ses data est devenu un exercice incontournable. 

Comment les entreprises françaises s’en sortent-elles sur ce sujet ? Où en sont-elle de leur gestion de la data ? Nous faisons le panorama dans cet article.

1/ Des entreprises françaises submergées par les data

Les entreprises françaises gèrent plus de data que le reste du monde

Une étude du cabinet IDC (2020) a dévoilé des résultats surprenants : les entreprises françaises gèrent un volume de data supérieur de 31% aux autres entreprises du monde (à caractéristiques similaires). En parallèle, elles doivent également superviser entre 21 et 50 emplacements dédiés aux data (data centers, cloud), soit deux fois plus que dans le reste du monde. 

Et la tendance n’est pas prête de s’inverser : 46,3% des entreprises ayant répondu à l’étude indiquaient qu’elles s’attendaient à une croissance annuelle de 40% de leurs data dans les deux années à venir !

Des dysfonctionnements dans la gouvernance de l’information

Si les entreprises françaises collectent plus de data que les autres entreprises dans le monde, elles ne les managent cependant pas de façon efficace pour la plupart d’entre elles. Plusieurs études montrent qu’il existe un dysfonctionnement dans la gestion – et surtout l’exploitation – des data par les entreprises françaises. Au-delà du coût évoqué en introduction, il s’agit également d’une perte de temps et d’efficacité au quotidien pour leurs salariés : ils passent (perdent) en moyenne 1 heure par jour à rechercher des data

Ces difficultés de gestion ont un impact direct sur les performances des entreprises au niveau global : leur agilité pour 29% d’entre elles, leur compétitivité sur le marché et une baisse de leurs revenus pour 25%, ainsi que des problèmes pour la prise de décisions stratégiques pour 19%. 

Des entreprises françaises en difficulté pour gérer les volumes de data collectées

La cause de ces dysfonctionnements ? Les entreprises françaises sont noyées sous le volume de data à gérer. 48,8% d’entre elles ne réussissent pas à exploiter la moitié de leurs data. C’est d’ailleurs le 2ème obstacle majeur à la transformation digitale de nos entreprises. 

Voici quelques chiffres issus de différentes études pour établir un panorama plus précis : 

  • Si 59% des entreprises françaises se disent “data driven”, seules 13% indiquent qu’elles accordent en réalité une place centrale aux data et à leur usage dans l’entreprise. 
  • 93% d’entre elles n’ont pas progressé dans leurs processus de gestion des data. Plus d’un tiers ont encore un système de contrôle et de gestion des data manuel. 
  • 7% seulement des entreprises interrogées par Dell atteignent la catégorie des “Data Champions”. 
  • Des résultats que le baromètre “Big Data 5 ans après” de l’EBG corroborent : la note moyenne de maturité des entreprises françaises par rapport à la data est de 3/5.

Les entreprises françaises ont donc une marge de progression indéniable dans leur rapport à la data. Cependant, il serait faux de dire qu’elles n’évoluent pas sur ce sujet. Cela s’apprécie notamment dans le développement transversal des équipes data. 

2/ La data n’est plus cantonnée aux fonctions IT

Utiliser la data à des fins commerciales et de connaissance clients

Il y a encore quelques années, la data était un sujet réservé à ceux considérés comme les “geeks” de l’entreprise, les équipes IT. C’est de moins en moins le cas, car les organisations ont compris que la data est un élément stratégique majeur, qui sert tous les métiers de l’entreprise. 

D’ailleurs, les objectifs des projets de Big Data sont d’abord des sujets business comme le confirme le baromètre EBG : 66% des répondants indiquent que le but est de créer de nouvelles opportunités commerciales et 65% d’obtenir une meilleure connaissance client et de ses parcours. La performance opérationnelle arrive en 3ème position (59% des répondants).  

Des équipes data qui évoluent

Conscientes des enjeux liés à la data, les grandes entreprises se sont emparées du sujet. Depuis 2015, elles ont été nombreuses à nommer un Chief Data Officer (d’autres l’appellent plutôt Chief Digital Officer). 90% du CAC 40 disposait d’un CDO en 2015. 

La gestion de la data et la structuration des équipes en fonction est cependant très lié à la taille de l’entreprise. Ainsi, 45% des entreprises françaises les plus data-driven ont plus de 100 salariés, tandis que 88% des entreprises françaises qui exploitent moins la data ont moins de 20 salariés. 

En cause ? Le manque de compétences en interne dans la plupart des cas. Les projets liés à la data nécessitent en effet des investissements, à la fois technologiques et humains. Les petites entreprises, qui ont encore du mal à évaluer le ROI de tels projets, restent souvent frileuses à les réaliser. 

Si la culture data des entreprises françaises doit encore évoluer, elles sont sur la bonne voie. Un argument supplémentaire, s’il en était besoin, en sa faveur : 83% des entreprises ayant une forte culture de la data estimaient bénéficier d’un avantage décisif lors de la pandémie du COVID-19. En effet, elles ont pu réagir et assurer la continuité de leur activité plus rapidement que les autres entreprises. Elles ont également plus confiance en l’avenir que les entreprises qui exploitent moins la data : 70 % des dirigeants d’entreprises françaises qui s’appuient sur la donnée sont plus optimistes sur leur avenir économique.

Ces entreprises déjà convaincues par le pouvoir de la data entendent renforcer encore sa place en interne pour accélérer. Une augmentation de l’investissement dans les compétences en matière de data était à l’ordre du jour pour 69% des dirigeants interrogés. 

Si vous aussi, vous souhaitez investir dans la data, mais que vous rencontrez des difficultés, venez en parler à nos équipes.

INVYO est la première marketplace de gestion de la data en Europe, nos solutions vous aideront à accélérer.

Prendre des décisions et mieux communiquer grâce à la data visualisation

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“Une image vaut mille mots”. Vous connaissez forcément cette rengaine, sans savoir peut-être qu’elle est signée Confucius. Déjà en -500 avant J.-C., on parlait donc de l’importance de l’image par rapport au texte. Pourquoi vous parler de cela aujourd’hui ? C’est simple : dans nos articles précédents, nous avons abordé les sujets de collecte et contrôle de la data. La dernière étape : faire sens de toute cette donnée. Elle peut s’avérer corsée quand vous récupérez votre data dans d’énormes tableurs sans fin. C’est là que l’outil visuel vient à votre secours ! Nous vous expliquons tout de suite comment la data visualisation vous permet de prendre des décisions plus rapidement, mais aussi de mieux communiquer.

La difficulté de faire parler les data non structurées

Vous l’avez sûrement déjà expérimenté en interne : vous avez récolté toutes les informations dont vous aviez besoin sur un sujet précis. Elles sont toutes soigneusement complétées dans un magnifique tableur Excel. Sauf que ledit tableur compte plusieurs milliers de lignes et presque autant de colonnes. Trouver l’information pertinente et l’expliquer relève du challenge ! 

Dans ces conditions, difficile de hiérarchiser les informations et extraire celles qui sont les plus importantes pour votre reporting mensuel ou d’exploiter les informations pour le pilotage quotidien de votre activité. Le traitement de l’information est chronophage et complexe.

Ce dont vous avez besoin est simple : un outil qui traduit ces données brutes, inexploitables, en éléments de prise de décision. Et pour cela, le visuel est la meilleure option. 

Votre cerveau aime les images … C’est scientifique !

Si Confucius avait déjà établi qu’une image était plus efficace qu’un long texte, cela restait une intuition. Intuition confirmée désormais par la science : le cerveau humain adore les supports visuels. 80% de l’information qu’il capte est de l’image … et il traite les visuels 60 000 fois plus vite qu’un texte !

Comment l’appliquer à l’exploitation de la data ? En s’appuyant sur la data visualisation. Qu’est-ce que c’est ? C’est simple : les outils de data visualisation transforment les informations brutes en images. Il s’agit de graphiques, de cartes, … L’information est structurée, mise en forme de manière ergonomique, avec des couleurs. Les points importants ressortent spontanément en un coup d’œil.

La data visualisation pour des décisions plus rapide et une meilleure communication

Pourquoi la data visualisation est importante pour votre entreprise ? Elle a plusieurs bénéfices : 

  • Faire sens de la data collectée
    En transformant une data complexe en visuel, vos équipes obtiennent des éléments fiables pour prendre leur décision de façon plus rapide. Finies les heures passées sur Excel pour trouver la bonne information !
  • Simplifier la communication interne et externe
    Pas besoin d’expertise technique pour comprendre les visuels fournis par votre outil de data visualisation. L’information devient transparente et la communication entre les différents services plus aisée. Cela peut également être à destination d’acteurs externes à l’entreprise, comme des partenaires ou clients.
  • Obtenir des data mises à jour en temps réel
    Les data contenues dans votre bon vieux tableur Excel deviennent obsolètes rapidement. Avec la data visualisation, vous n’avez plus ce problème : l’outil met à jour en temps réel les informations pour que vos tableaux de suivi soient toujours pertinents. Vous prenez donc des décisions plus rapidement, avec une meilleure qualité de data. 

Illustrons l’utilité de la data visualisation avec le cas d’usage de l’un de nos clients. Il s’agit de GL Events, et plus précisément de leur lieu événementiel La Place Fintech, dédiée à l’innovation financière. En tant que nouvel acteur sur ce marché, l’équipe souhaitait montrer son expertise et son innovation lors des événements organisés sur place. 

Comment ? Nous avons collaboré avec l’équipe de La Place Fintech pour mettre en place des data walls géants dans l’espace de réception de La Corbeille, là où le dernier mur de cotation historique est présent, avec notre solution Data Viz. Désormais, ce sont les informations les plus récentes du secteur financier qui défilent sur les murs. Elles font sens grâce à leur consolidation sous forme de graphiques, classements et autres visuels … et animent les conversations lors des événements ! Ces data walls sont bien sûr entièrement personnalisables, leur design s’adapte au branding du client et, dans ce cas précis, de l’événement organisé. 

Collecter la data, c’est bien. Pouvoir en faire sens, c’est mieux. Pour cela, rien de tel qu’un outil de data visualisation qui transforme la donnée et la traduit littéralement pour des prises de décisions facilitées et une meilleure communication interne et externe. Et si c’était à votre tour de mettre vos data en images ?

INVYO

Gestion des risques : comment contrôler la data ?

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Gestion des risques : comment contrôler la data ?

La taille de l’univers digital va doubler tous les deux ans, au moins”. On assiste depuis plusieurs années à une croissance exponentielle de la data. Les sources sont de plus en plus nombreuses et la data omniprésente. Il est aisé de se noyer dans toute cette masse d’informations. Elle représente cependant un avantage compétitif considérable pour les entreprises qui réussissent à s’en saisir et à sourcer les data pertinentes pour leur activité. Au-delà de son caractère informatif, une data bien utilisée participe à une bonne gestion des risques de l’entreprise. Comment faire pour l’appliquer à votre activité ? C’est le sujet de cet article, bonne lecture !

Réduire l’exposition de l’entreprise aux risques

La gestion des risques, comme son nom l’indique, permet d’identifier, d’évaluer et de hiérarchiser les risques liés à l’activité de votre entreprise. Spontanément, on pense souvent au risque financier. Ils sont pourtant d’ordres multiples : risque réputationnel, risque humain … L’idée de la gestion des risques est d’éviter et de limiter l’impact des événements identifiés comme risqués s’ils intervenaient. 

Dans beaucoup de secteurs, au-delà d’être une décision de l’entreprise, la gestion des risques est une exigence réglementaire. C’est notamment le cas dans les services financiers par exemple, avec de fortes attentes en termes de conformité. 

Bien sûr, même avec une bonne cartographie des risques, vous ne pouvez pas tous les éviter. Vous pouvez cependant réduire l’incertitude et garantir une bonne continuité d’activité pour l’entreprise. Pour cela, une seule solution : s’appuyer sur des data internes et contextuelles pour modéliser les risques. Pour que ces projections soient les plus fines possibles, il faut s’assurer que la data collectée soit fiable et centralisée. C’est là que le bât blesse : cette tâche n’est aujourd’hui pas la plus aisée … 

Des difficultés pour centraliser et contrôler la data

Comment se fait la centralisation et le contrôle de la data dans la majorité des entreprises ? Manuellement ! Les équipes risques vont chercher elles-mêmes les data pertinentes pour leurs modèles des risques, via des sources diverses. On constate plusieurs limites à cette méthode : 

  • D’abord, qui dit processus manuel dit processus chronophage généralement. Les équipes doivent consulter de nombreuses sources d’informations pour trouver celles qui les intéressent … et recommencer régulièrement l’exercice pour mettre à jour les informations récoltées ! 
  • Dans ce contexte, difficile de contrôler la data récoltée, c’est-à-dire de certifier celle qui est la plus juste et à jour. La documentation peut être erronée dans certaines sources et la data peut également être déjà obsolète. C’est le cas lorsqu’elle change plusieurs fois dans la journée (le cours d’une action par exemple). 
  • Enfin, processus manuel signifie aussi risque d’erreur humaine. Les équipes peuvent faire des erreurs en reportant les informations dans vos tableaux de suivi par exemple. 

En résumé, la collecte d’information est laborieuse et le processus présente lui-même un risque important : des data collectées fausses ou obsolètes. Comment prendre des décisions stratégiques pour l’activité de l’entreprise dans ce cas ?

Automatiser le contrôle et la centralisation de la data

La réponse à cette question réside dans l’automatisation d’une partie du processus : la centralisation et le contrôle de la data. Bien sûr, la prise de décision reste humaine. Cependant, il est possible, grâce à la technologie, d’automatiser la récupération d’informations fiables et de les mettre à jour en temps réel. Les décisions sont donc prises dans les meilleures conditions possibles. 

C’est ce que nous proposons avec notre solution Data Check. Notre but est de permettre à vos équipes de garder le contrôle sur la data … et pas l’inverse ! Qu’il s’agisse d’obtenir des informations à jour pour vos modèles de risques ou de suivre les évolutions réglementaires, nous vous fournissons des outils clés en main, adaptés à votre activité. 

Prenons le cas de notre produit “Risk Data Check”, utilisé par l’un de nos clients assureur. Quel était le besoin initial de leurs équipes métiers ? Elles souhaitaient disposer d’un outil de gestion et d’analyse des risques sur le traitement de données en lien avec des actifs financiers. Cela concerne notamment des OPCVM dans ce cas précis. 

Les difficultés rencontrées étaient simples : il fallait vérifier des informations multiples, issues de 3 sources différentes, ouvrir des milliers de PDF pour aller recueillir les informations, puis reporter cela dans un tableau de suivi. Un processus fastidieux, avec un risque d’erreur élevé. Les risques financiers de l’entreprise étaient estimés à plus de 500K€ par an ! 

L’outil mis en place, Risk Data Check, s’est adapté aux besoins précis de leur activité. Désormais, les milliers de documents PDF sont analysés automatiquement, la data issue de 3 sources différentes est pondérée et structurée dans un tableau de bord, mis à jour en temps réel. Bonus : notre solution détecte les anomalies et envoie des alertes en fonction de règles définies en amont aux équipes. Les risques financiers ont été rééquilibrés, tout en supprimant les tâches à faible valeur ajoutée. Les équipes peuvent désormais se concentrer sur la prise de décision.

Centraliser et contrôler la data est clé pour les entreprises. Les sources d’informations sont multiples et il peut être difficile de faire sens de la donnée. Si c’est votre cas, pas d’inquiétude : vous n’êtes pas seuls … et des solutions existent ! Parlez-en à un expert INVYO.

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